vendredi 29 février 2008
mercredi 27 février 2008
mardi 26 février 2008
Présentation du projet
Mesdames, messieurs,
Tout d'abord permettez moi de vous présenter mes meilleurs voeux pour l'année à venir, et merci de m'avoir sélectionnée, j'en suis très heureuse.
Mon projet consiste à considérer l'ensemble lion-socle comme le tombeau de Sainte Blandine (ou plutôt le cénotaphe, soit un tombeau commémoratif sans corps sous la dalle funéraire). Sainte-Blandine est la patronne de Lyon et d'une commune québecoise. Elle a été livrée aux lions dans l'amphithéâtre des Trois Gaules avec 41 autres chrétiens en 177, les lions refusant de la dévorer, elle fut flagellée, brûlée vive, enfermée dans un filet de gladiateurs et jetée aux taureaux sauvages... toujours vivante elle sera achevée au glaive par un soldat romain.
Au vu de ma formation et de mon activité professionnelle qui touche le dessin anatomique d'une part, et le dessin archéologique d'autre part, j'ai imaginé une oeuvre allégorique où le lion serait apparemment touché par la grâce divine en refusant de dévorer Blandine, mais en réalité, repu de chrétiens (dont le signe de reconnaissance entre eux était le poisson), il offre vicieusement à Blandine le martyre par la croix du Christ (dont le glaive est le symbole, lui-même utilisé plus tard par les croisés).
Mon projet consiste à considérer l'ensemble lion-socle comme le tombeau de Sainte Blandine (ou plutôt le cénotaphe, soit un tombeau commémoratif sans corps sous la dalle funéraire). Sainte-Blandine est la patronne de Lyon et d'une commune québecoise. Elle a été livrée aux lions dans l'amphithéâtre des Trois Gaules avec 41 autres chrétiens en 177, les lions refusant de la dévorer, elle fut flagellée, brûlée vive, enfermée dans un filet de gladiateurs et jetée aux taureaux sauvages... toujours vivante elle sera achevée au glaive par un soldat romain.
Au vu de ma formation et de mon activité professionnelle qui touche le dessin anatomique d'une part, et le dessin archéologique d'autre part, j'ai imaginé une oeuvre allégorique où le lion serait apparemment touché par la grâce divine en refusant de dévorer Blandine, mais en réalité, repu de chrétiens (dont le signe de reconnaissance entre eux était le poisson), il offre vicieusement à Blandine le martyre par la croix du Christ (dont le glaive est le symbole, lui-même utilisé plus tard par les croisés).
Soyez assurés de mes meilleurs sentiments,
Hélène Bret.
Inscription à :
Articles (Atom)